Recit d'un sniper (airsoft )

Recit d'un sniper (airsoft )

mai 2014 modifié dans A la table des motards
Bien le bonjour,

Aujourd'hui je veux vous faire partager une de mes passion, qu'est l'airsoft.
(Jeu de pistolet a bille)

C'était une journée spécial, avec jeu de rôle alors, pour pas que vous soyez perdu, le mot "Stalkers" ici signifie un type de personnage que l'on peut embauché n'importe où n'importe quand pour faire n'importe quelle mission. voilà Smile

voici mon recit : j'occupe le rôle du sniper.




Une petite musique d'accompagnement: [Lien rompu]

On nous demande de libérer la zone du marchand, des militaires arrivent. Nous les bandits allons passer un sale quart d’heure après les avoir attaqués dans leur camp de base. L’heure de leur revanche à sonner.

Nous ne sommes que 5, mais je décide tout de même d’abandonner mes compagnons dans la route qui les mène à notre campement. Je souhaite espionner les militaires chez le marchand. Sans mon fusil, juste avec mon P99. Une petite vingtaine de mètre après notre sorti je me cache derrière un frêle arbre, légèrement en contre bas de la route. J’entends le raffut des militaires se rapprocher. Les Stalkers ne semblent pas devoir être avec les militaires et se posent entre eux et moi. Je suis trop loin pour entendre ce qu’il se dit avec le marchand, et trop prêt des Stalkers pour me rapprocher. Je dirai qu’entre 5 et 8 mètres au maximum nous séparent.

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Je n’attends maintenant qu’une chose ; que les militaires quittent la zone et repartent dans leur camps, je n’ai pas pu recueillir d’informations, ma propre mission avait raté. Raté encore, les militaires ne partent pas dans leur campement. Ils se rapprochent des Stalkers. Je me fais tout petit, les militaires se clairsement parmi eux afin de marchander leurs aides. J’entends la demande d’emplacement de la base des bandits, ma base, notre base. Mince ils veuillent nous attaquer de front eux aussi. Mais les Stalkers ne semblent pas très emballés. En effet l’ancien chef militaire, avait fait de l’effet aux Stalkers, un mauvais effet. Mais son remplaçant Kronoff, compte bien leur faire comprendre que cette ère est révolue.

Pendant qu’ils essaient de trouver un accord, je prends conscience, que, … je suis sur leur chemin, à moins d’un mètre de la route, caché derrière un arbre de 15cm de diamètre. Il m’est impératif de trouver une meilleure cachette. Une cachette non loin qui permettrait d’accompagner ma tenue et passer inaperçu. Trois, quatres arbres collés ensemble, du même acabit que le miens feront une parfaite cachette Ils se trouvent à environ 60cm derrière mon propre arbre. 60cm c’est peu, mais à 5metre d’un militaire, c’est énorme.
Lentement, je surveille un à un les militaires et avance centimètre par centimètre. Cinq bonnes minutes pour parcourir ces 60 cm. Lorsque je glisse mes jambes les long des arbres, j’entends que les Stalkers et les militaires ont conclu un marché. Ils se dirigent vers le camp en courant !

Tel l’autruche je plonge mon visage au sol, en prenant soin de ne pas laisser dépasser mon pistolet, ni un bout de peau. Le premier passe, le second aussi, les suivant aussi, je compte les voix, il en reste, au moins deux. Mais l’avant dernier s’arrête devant moi, j’entends ses pas sur les feuilles. Que fait-il ? m’a-t-il remarqué ? « Il y a un autre Stalkers au marchand » cri t’il. Ouf je suis sauvé. Mais pour combien de temps. Il faut qu’il parte. Son compagnon de route le pousse légèrement à suivre le rang et ils s’éloignent.
Je me lève en prenant soins de bien vérifié que plus personne ne se trouve sur le chemin. Que le dernier militaire soit bien parti. Ma position est une position de choix. Derrière les militaires qui pensent que tous les bandits sont au camp. Je me hâte car il ne faudrait pas que j’arrive après la bataille. Sur la route Je vérifie mon chargeur, j’en change car il ne me reste que trois billes. Déjà j’entends l’affrontement au virage suivant. J’avance sans bruit. Je vois deux militaires au travers des buissons.

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(Photo non contractuelle)

Je devine approximativement l’emplacement des autres. J’ajuste mon tir sur le premier, je prends le temps de bien viser, et fait mouche, dans la foulé je vise le suivant. Touché. Plus rien, le silence est arrivé. Ça sent le moisi. Je me jette dans un buisson devant les deux militaires au sol, en plein dans l’extérieur du virage. La végétation est dense mais essentiellement composé de branche et d'herbes, pas de feuilles. Allongé, J’ai maintenant vue sur deux autres militaires, 2 billes pour celui devant moi, une bille pour un à droite. De nouveaux un grand silence. Maintenant ils vont revenir c'est sûr, je suis dans une mauvaise posture mais j’ai toujours l’avantage d’être caché.
Deux Stalkers sortent des buissons sur le chemin d’où je viens et viennent vers moi. Un à un, d’une bille chacun je les sors. Déjà six en moins. Mais ils peuvent se faire soigner. Et c’est ce qui s’est passé entre temps.

Beaucoup de rafale convergent au-dessus de ma tête. Ils savent très bien où je suis. Finalement, l’un d’eux me touche. Mais j’étais déjà prêt à cette éventualité, une main sur la seringue pour me rebooster. Un Stalker me saute dessus, me demandant de ne pas me soigner, que c’était totalement inutile. Le mal était déjà fait, j’avais même déjà mon second back-up dans sa direction. Sans un mot, il s’allonge, et je me repositionne. Les premiers militaires que j’ai eu se sont fait soigner, et ne voulant pas se refaire avoir par derrière décident de rebrousser chemin pour vérifier s'il n'y as pas quelqu'un d'autre. Ni une ni deux se seront les premiers à y repasser, une bille chacun, c’était fini. Ils en perdaient la raison. Je reviens sur mon objectif, là aussi les militaires blessés, rejouent. Je dois faire très vite. Ils ne se doutent encore de rien. Trois cibles, deux secondes. Je commence par la plus facile, celle où je suis sûr de faire mouche à la première bille. J’arrose le suivant, je ne suis pas sûr de l’avoir touché. Je passe au troisième et dernier pas le temps de m’attarder. Je l’arrose lui aussi. Jusqu’à ce que mon chargeur soit vide. Je ne sais pas si j’ai eu le temps où non de le vider, toujours est-il que je me suis fait avoir, je ne sais pas d’où elle venait ni où elle a touchée. Mais c’est fini. Mon rôle est fini.
Je les aurais bien fait chier ces salauds de militaires !
Modérateur buté, suivez les lignes !
Language SMS Interdit!

[*]Mon site; [Lien rompu]

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